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dimanche 31 août 2008

Retour de vacances

Retour de vacances...
Départ vers Paris pour déménager le fils...
6 étages, les bras qui s'allongent...
Dernières recommandations...
Retour de la capitale, 1200 km en 2 jours...
Allez un petit tour sur le blog...
C'est bon de retrouver l'ambiance!
Partir, revenir...
Qui part, qui revient?
Surtout ne pas se quitter soi même,
Rester dans cet à coté permanent.
Le risque des vacances c'est de s'oublier un peu,
D'être saisi plus que de coutume par l'inhabituel,
De ne plus avoir d'horaires et de se croire libre,
De s'enthousiasmer de l'inattendu,
De fréquenter l'imprévu et d'oser l'inconnu.
Bref de glisser vers la détente,
Et d'oublier la vigilance!
Ah les vacances...

7 commentaires:

Catherine Bondy:Psycho-Praticienne et Peintre. a dit…

comme je partage ton témoignage !
dans l'acte de revenir au connu , il y a "truc" que j'aime expérimenter :
le vivre " comme jamais " !
quand ça marche , qu'est-ce que c'est savoureux ...
tout est une question de regard ..
ça va même jusqu'à percevoir les personnes connues d'une manière nouvelle ...

Daniel a dit…

Me voilà aussi de retour parmi vous. A vrai je ne vous avais pas vraiment quitté... Nous allons , de loin en loin, continuer à partager nos enthousiasmes, nos questionnements et notre folle envie de nous sentir aimé.
Quand au degré de vigilance, c'est souvent face à l'inattendu, à 'inconnu ou à l'inhabituel qu'on peut mieux le mesurer.
Bien à toi, ami. Et que la rentrée te soit douce!

philippe a dit…

Ca me laisse perplexe ,"glisser vers la détente et d'oublier la vigilance."
Je ne saisis pas.
Car pour moi,je commence par la détente et ensuite vigilance.Je crois que la pratique est avant détente et abandon.
bonne rentrée Yannick.
C'était comment la voile??

Dominique a dit…

Tout le monde déménage : ton fils, ma fille, notre blogueur en chef...

Mabes a dit…

Tout change et tout recommence et vice et versa, c'est bon de se trouver tous !

soisic a dit…

heureuse de vous retrouver,très amicalement Soisic

fishfish a dit…

Bon retour à terre Yannick. Si tu passes par Paris préviens moi!